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rendre où nous sommes. C’est le charme profond de
Selma Lagerlöf
qui revit dans ces peintures d’une Laponie lointaine et d’une humanit
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er » qui terrorise les romanciers du xxe siècle.
Selma Lagerlöf
sait encore que l’origine de tout l’art du récit, c’est la légende. U
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i « miracle », ici, c’est le parti romanesque que
Selma Lagerlöf
a su tirer du mythe. Et c’est aussi la profusion géniale des inventio
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tte scène étonnante, l’un des secrets de l’art de
Selma Lagerlöf
. L’invention romanesque n’est ici que la « mise en pratique » d’une a
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e des Löwensköld. Il faut avouer que le milieu où
Selma Lagerlöf
a grandi paraît favoriser plus qu’aucun autre le déploiement des pouv
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cka, souvenirs, mêmes traducteurs. (Stock.) o. «
Selma Lagerlöf
, conteur de légende », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 768, 3 ju
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Gösta Berling, par
Selma Lagerlöf
(novembre 1937)ag Le monde entier connaît la geste de cette commun
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ittérature moderne. Kipling mort, il ne reste que
Selma Lagerlöf
pour nous raconter des histoires, des histoires inventées, impossible
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vice commandé d’oudarnikis plus ou moins décorés.
Selma Lagerlöf
est la seule femme de la littérature européenne dont le génie ait eu
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vendus au diable, etc. ag. « Gösta Berling, par
Selma Lagerlöf
. Traduction intégrale de T. Hammar et M. Metzger (« Je sers ») », La